Pour plussoyer, je rappellerai simplement que si Irène Frachon n'avait fait de tapage médiatique, le médiator serait encore en vente.
Il y'a deux façons d'analyser le comportement médiatique d'un scientifique dissident :
- Il veut se faire un nom et ramasser du pognon.
– C'est le seul moyen qu'il a pour qu'on parle de son étude qui vite étouffée si elle s'avère gênante.
Et dans un cas de figure à la David et Goliath, on a souvent tendance à penser que c'est David qui manipule utilise les médias à mauvais escient.
Or, pour analyser froidement et pleinement une situation, il deux choses :
– Avoir admis le principe que la majorité des êtres humains sont mauvais et vénaux par atavisme.
– Avoir admis qu'il existe quelques exceptions à la règle précédente. Quelques êtres humains se satisfont simplement de la reconnaissance de leurs congénères pour servir l'intérêt général.
Une fois que c'est admis, on cherche où se situent les plus gros intérêts, et à combien de personnes profitent un crime/une situation.
Conclusion : entre le chercheur tout seul et les 40 autres, j'ai tendance à croire celui qui est tout seul, d'autant plus qu'il risque de devenir un paria dans sa profession, et que la facilité pour lui aurait été d'accepter un gros chèque de Monsanto, et de nager dans le sens du courant.