Le mode de reproduction si caractéristique des films Aliens (résumé pour les étourdis : l'alien te fout un embryon dans le bide, qui grandit pour au final sortir par ses propres moyens, défonçant au passage la cage thoracique du porteur, ce qui, le plus souvent, met à mal la survie du dit porteur) n'est pas qu'une fiction : l'abeille parasite en fait de même avec des chenilles.

Entre-aperçu dans un documentaire animalier. Pas trouvé de sources (bon, ok, j'ai cherché moins de 3 min…).

Bof.

Je n'ai pas d'autre exemple en tête mais c'est un cas de parasitisme qui ne doit pas être unique à mon avis. Aussi même si j'adore les LSV sur nos amies les bêtes, j'ai un a priori plutôt négatif.

Ce n'est pas le côté unique ou non de la chose qui avait retenu mon attention, mais bien le côté “alien-like” (d'autant plus que j'ai regardé Shrek 2 juste avant, où il y a une parodie de la scène en question).

Plus j'y pense, moins je suis emballé aussi effectivement…

On a pas un LSV sur le Champignon et la fourmi zombie ?

Effectivement, une inspiration animale pour décrire un parasite…

Et c'est une abeille qui pond dans la chenille et les larves bouffent sur place.
J'ai lu cette information dans mon livre compagnon quand j'avais 6 ans.

Expérience familiale : ma soeur au Cameroun était obligée de repasser jusque ses chaussettes, parce que la chaleur du fer tuait les larves des mouches ayant pondu dans le linge en train de sécher.
Si elle ne le faisait pas, les oeufs pondus dans le linge éclosaient dans la peau, leur généraient des boutons, ressemblant à des boutons d'acné. Sauf que là, quand tu les perçais, au lieu d'un peu de pus (ou de je ne sais quoi), c'était une larve qui sortait. Un mini-alien !
Sur ce, bon appétit bien sûr !